NATIONS UNIES
Bureau de Coordination des Affaires Humanitaires (OCHA)
Réseau d'Information Régionaux Intégré (IRIN)
(du 16 au 22 février 2002)
LIBERIA: Des milliers de déplacés à la suite des combats
Les combats de cette semaine entre les troupes loyales au président Charles Taylor et les forces rebelles à Bong Mine, à environ 80 km au nord-est de la capitale, Monrovia, ont déplacé au moins 20 000 personnes, a annoncé jeudi le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
Le gouvernement du Liberia a affirmé cette semaine qu'il a repoussé les rebelles et qu'il a déjoué des « menaces sérieuses » des rebelles à Klay Junction et à Tubmanburg, siège provincial de Bomi, à 35 km et à 60 km au nord de Monrovia, respectivement. Les combats à Klay au début de mois de février ont forcé des dizaines de milliers de personnes à fuir, notamment quelque 6 000 personnes qui s'étaient réfugiées dans des camps établis pour les Sierra Léonais.
La plupart de ceux qui ont échappé aux récents affrontements à Bong ont trouvé refuge à Kakata, à environ 70 km au nord-est de Monrovia. Des informations provenant de la région soulignent que beaucoup de personnes tentent désespérément de s'éloigner le plus possible des combats, a indiqué le HCR.
Tant les agences humanitaires de l'ONU que les organisations non gouvernementales s'apprêtaient jeudi à réagir à la situation d'urgence à Kakata. L'agence gouvernementale pour les réfugiés, la Commission libérienne pour le rapatriement et la réinstallation des réfugiés (LRRRC-anglais), conduit également une étude globale sur le nombre de personnes déplacées par les combats, a rapporté le HCR.
Ross Mountain, Coordinateur adjoint de l'ONU pour les secours d'urgence, a souligné mardi à l'occasion d'une conférence de presse à Abidjan, en Côte d'Ivoire, que le nombre des déplacés au Liberia, qui selon lui « ont été déplacés plusieurs fois », est estimé entre 50 000 et 60 000. Le gouvernement quant à lui fait état de centaines de milliers. M. Moutain a sollicité des contributions en réponse à un appel de 17 millions de dollars lancé cette année par l'ONU au titre de l'assistance humanitaire au Liberia.
D'un autre côté à Monrovia, et en dépit des rumeurs d'attaques éventuelles contre la capitale et d'une activité fébrile des forces de l'ordre, la ville a été jugée calme, les habitants vaquant à leurs occupations quotidiennes, selon le HCR. Pourtant, certains Libériens ont fait leurs valises et ont pris des cars et des taxis pour la Côte d'Ivoire et pour le Ghana, o=F9 beaucoup d'entre eux ont des proches. Le mouvement reste cependant à petite échelle, et ne concerne que ceux qui peuvent payer le coût de leur voyage, d'après des responsables proches de l'agence pour les réfugiés.
Les dissidents des Libériens unis pour la réconciliation et la démocratie (LURD-anglais) combattent dans les parties nord et nord-ouest du Liberia depuis 1998 dans le but de renverser le gouvernement de M. Taylor. Depuis septembre, le groupe a intensifié ses activités dans la région, et les combats de mardi marquent l'expansion des attaques rebelles depuis les comtés de Lofa et de Gbarpolu, au nord, jusqu'au comté de Bong au nord-est, a rapporté le HCR.
La riposte du gouvernement libérien à l'intensification récente des hostilités a consisté, entre autres, à établir « une présence permanente de la sécurité » le long de ses frontières avec la Sierra Leone et avec la Guinée (au nord) en vue de contenir les rebelles. Il a également annoncé qu'il accordera la priorité à une commission nationale des secours aux sinistrés, mise en place il y a deux semaines, pour aider les personnes déplacées par les combats.
Dans une réponse régionale, les dirigeants des pays de l'Union du fleuve Mano (MRU-anglais) sont convenus de se rencontrer la semaine prochaine au Maroc pour discuter des nouveaux combats au Liberia, ont rapporté des organes de presse mercredi. Le porte-parole de la présidence libérienne, Vaani Paasawi a déclaré que le président Charles Taylor, et les chefs d'Etat de la Sierra Leone et de la Guinée, Ahmad Tejan Kabbah et Lansana Conté respectivement, allaient se rencontrer le 27 février à Rabat, capitale du Maroc.
Des observateurs affirment que l'insécurité croissante au Liberia constitue une menace pour la paix dans la région de l'Union du fleuve Mano. La MRU a été fondée en 1974 en tant que mécanisme pour promouvoir l'intégration sous régionale, mais n'a pas réussi grand chose à cet égard.
Les journalistes libériens aux Etats-Unis ont invité M. Taylor à lever l'état d'urgence annoncé le 8 février, et ont fait état d'une suspicion grandissante quant au fait que la crise humanitaire actuelle que traverse le pays pourrait être orchestrée pour servir les intérêts politiques de M. Taylor et des rebelles des LURD. .
Par ailleurs, le HCR continue d'organiser des convois, prévus précédemment, pour rapatrier des réfugiés sierra léonais qui ont fui la guerre civile qui a sévi pendant dix ans dans leur pays. Mercredi, un quatrième convoi transportant 328 personnes est arrivé indemne en Sierra Leone, portant à 1132 le nombre total des rapatriés transportés dans leur pays depuis le 12 février, a conclu l'agence de l'ONU pour les réfugiés.
SIERRA LEONE: Les médecins menacent de grève à Freetown
Les médecins des hôpitaux publics de Freetown, la capitale de la Sierra Leone, ont menacé de se joindre aux infirmiers, qui observent une grève depuis le 12 février en vue d'une amélioration des salaires et des conditions de travail, a rapporté l'ONG Campagne pour une bonne gouvernance (CGG-anglais).
La CGG a publié un communiqué lundi invitant le gouvernement à « répondre sérieusement et en toute urgence aux besoins des médecins et des infirmiers », conformément à ses responsabilités constitutionnelles « de s'assurer qu'il existe des facilités médicales et de santé pour toutes les personnes dans l'Etat ».
Certains patients sont déjà sortis de l'hôpital à cause du nombre réduit de personnel médical et du manque de soins qu'il entraîne, et sont rentrés chez eux ou sont allés dans des hôpitaux privés ou militaires, selon la source.
Dans un communiqué cette semaine, le gouvernement a déclaré qu'après un examen de l'ensemble du service de santé, conduit par l'ONU, un ajustement intérimaire des émoluments et des échelons des docteurs et des infirmiers, qui devait entrer en vigueur en janvier 2002, sera reflété dans leur salaire à la fin février, y compris les arriérés de janvier.
Les trois hôpitaux publics affectés par le mouvement du personnel de la santé sont: l'Hôpital Connaught, Princess Christian Maternity Hospital (PCMH), la plus grande maternité du pays, et l'Hôpital d'enfants PCMH.
SIERRA LEONE: La réinsertion économique et sociale des ex-combattants, une priorité
La réinsertion économique et sociale des ex-combattants est désormais l'un des défis majeurs pour le gouvernement sierra léonais et pour tous les partenaires clé pendant la phase actuelle après le désarmement, a indiqué, lors d'un récent exposé devant les donateurs internationaux, le chef d'un organisme national qui apporte un appui aux ex-combattants.
L'expansion et l'offre d'opportunités de réinsertion à court et à long terme sont à présent possibles, à l'issue du processus de désarmement et de démobilisation au début du mois de janvier, a déclaré le 8 février Francis Kai-Kai, le secrétaire exécutif du Comité national pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (NCDDR-anglais). Entre mai 2001 et janvier 2002, 47 766 combattants, notamment des ex-rebelles du Front révolutionnaire uni (RUF) et des Forces de défense civile (CDF), alliées au gouvernement, ont été désarmés. Parmi eux, quelque 4 370 étaient des enfants soldats.
Dans le but d'aider à leur réinsertion dans la communauté, le NCDDR offre maintenant aux ex-combattants des opportunités dans des domaines comme l'agriculture, la formation professionnelle et le développement des petites entreprises, l'enseignement formel, les plans d'apprentissage et les travaux publics.
Le financement est « un facteur critique dans la mise en oeuvre du programme de DDR », a noté M. Kai-Kai. Si on prend en compte les annonces de contribution, il reste encore un déficit de près de 13, 5 millions de dollars, a-t-il poursuivi.
Le programme du NCDDR a été établi en 1998 pour appuyer une stratégie de paix et pour aider à consolider le processus politique.
TOGO: Les efforts continuent pour remédier à la crise politique
Le président du Togo, Gnassingbé Eyadema, et les cinq grands partis d'opposition ont eu des discussions mercredi dans le but de résoudre la crise politique dans le pays, et de relancer des négociations susceptibles de déboucher sur l'organisation des élections législatives le 10 mars.
M. Eyadema a déclaré aux partis qu'il est attaché à l'organisation des élections aussi tôt que possible. L'opposition a répondu en posant comme seule condition à sa participation la remise en liberté du dirigeant de l'opposition, Yaovi Agboyibo, incarcéré depuis le 3 août 2001, a rapporté la République du Togo, un site pro-gouvernemental d'information sur l'Internet.
Le président Eyadema a dit aux partis que, du fait de la séparation des pouvoirs, il ne peut pas intervenir dans cette affaire, mais qu'il souhaite accorder à M. Agboyibo une grâce présidentielle si celui-ci la sollicite, a rapporté le service d'information en ligne.
La réunion de mercredi s'est tenue avec, en toile de fond, la détérioration de la crise politique qui menace la tenue du scrutin du mois prochain, dont l'objectif est de remplacer les élections législatives de 1999, boycottées par les partis d'opposition qui proclament que les élections présidentielles de juin 1998 étaient truquées. L'Accord cadre de Lomé, résultant des efforts conjugués de la classe politique du Togo, de l'Union européenne, de la France, de l'Allemagne et de la Francophonie, vise à résoudre la crise.
La discorde politique qui perdure depuis quatre ans s'est aggravée au début de ce mois lorsque le parlement a adopté, le 8 février, un nouveau code électoral, une décision largement critiquée par l'opposition et par la communauté internationale.
SAHARA OCCIDENTAL: Annan esquisse de nouvelles options
Le Secrétaire-Général de l'ONU, Kofi Annan, a esquissé plusieurs pistes de travail, que le Conseil de sécurité devra examiner, en vue de sortir de l'impasse le processus de paix au Sahara occidental, a rapporté l'ONU mercredi.
Comme première solution, il propose que l'ONU reprenne ses efforts pour faire appliquer le plan de règlement du conflit de 1988, sans nécessairement l'accord des deux parties quant à l'avenir du statut du Sahara occidental. La deuxième option serait que son Envoyé spécial, James Baker III révise le projet d'Accord cadre, sans non plus bénéficier de l'assentiment du Maroc et du Front populaire pour la libération de Saguia el-Hamra et du Rio de Oro (Front POLISARIO).
La troisième consisterait à mandater M. Baker à envisager avec les parties intéressées une possible partition du territoire, tandis que la quatrième serait que le Conseil de sécurité décide de mettre fin à la Mission de l'ONU pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), en raison de l'absence de progrès, a rapporté l'ONU.
M. Annan a proposé que le mandat de la MINURSO soit prorogé de deux mois, jusqu'au 30 avril, pour donner le temps au Conseil d'examiner ces options.
L'un des rôles de la MINURSO, établie en 1991, est de maintenir la paix entre le Maroc et le Front POLISARIO. Le Maroc a annexé le Sahara occidental en 1975, après le retrait de l'Espagne, et le Front POLISARIO lutte pour l'autodétermination de l'ancienne colonie espagnole. La dernière proposition de paix de l'ONU, rédigée par M. Baker en juin 2001, a été rejetée par le POLISARIO.
Le désaccord entre le Maroc et le POLISARIO concernant l'identification des personnes éligibles pour voter, a fait échouer les plans de l'ONU en vue d'organiser un référendum d'autodétermination pour le territoire.
NIGERIA: La police récupère des engins non explosés, les victimes des explosions sont enterrées
La police au Nigéria a récupéré 1 350 bombes non explosées, des obus de mortier et d'autres engins éparpillés à Lagos à l'issue des explosions provoquées par un incendie, le 27 janvier, dans un dépôt de munitions. Les recherches continuent, a indiqué mercredi Samuel Balogun, porte-parole de l'unité de police chargée du recyclage des bombes.
Une équipe d'experts américains et britanniques de recyclage des bombes se trouve au Nigéria depuis plus de deux semaines pour aider ses homologues nigérians à récupérer et à faire détoner les munitions non explosées.
Les corps non réclamés de 120 victimes ont été enterrés samedi sur la rive d'un canal dans lequel la majorité du millier de victimes sont mortes alors qu'elles tentaient d'échapper aux bombes qui explosaient et aux éclats d'obus.
Il ne s'agissait pas de toutes les victimes de la catastrophe et, le Fonds des Nations Unies pour l'enfance, la Croix-Rouge nigériane et le gouvernement de Lagos conduisent des programmes pour retrouver les traces et pour réunifier les personnes disparues et leurs familles. Le porte-parole de la Croix-Rouge a récemment indiqué que, d'après toutes les informations recueillies par l'organisation, près d'une centaine de personnes sont encore portées disparues, bien qu'elles aient pu être retrouvées par leurs familles sans que celles-ci aient informé l'organisation après coup , a-t-il ajouté.
Le président Olusegun Obasanjo a ordonné une enquête sur les circonstances ayant conduit à la catastrophe, qui s'est produite dans la Caserne militaire d'Ikeja. Il a promis que les résultats de l'enquête seront rendus publics.
COTE D'IVOIRE: Les principaux hommes politiques publient une déclaration conjointe
Les quatre principaux dirigeants politiques de la Côte d'Ivoire ont publié mardi un communiqué conjoint basé sur une réunion qu'ils ont tenue pour résoudre les problèmes sociopolitiques du pays.
Le communiqué final a révisé et adopté les recommandations du Forum de réconciliation nationale, qui a eu lieu l'an dernier, et a ajouté des points supplémentaires issus de la réunion des 22 et 23 janvier dans la capitale ivoirienne, Yamoussoukro. Cette rencontre a été organisée par le président Laurent Gbagbo et y ont participé l'ex-président Henri Konan Bédié, l'ancien premier ministre, Alassane Ouattara, et l'ex-dirigeant militaire, le général Robert Gueï.
L'une des recommandations clé du Forum de réconciliation nationale, qui s'était déroulé du 9 octobre au 18 décembre 2001, incluait une proposition suggérant d'octroyer à M. Ouattara un certificat de nationalité. Ses trois homologues, a indiqué le communiqué, lui ont demandé de déposer une demande de certificat de nationalité.
En septembre 2000, la Cour constitutionnelle a interdit à M. Ouattara de participer aux élections présidentielles et parlementaires en raison des doutes sur sa nationalité. Plus de 300 personnes, des sympathisants de M. Ouattara pour la plupart, sont mortes durant une flambée de violence survenue pendant la période des élections en octobre et décembre 2000.
Le communiqué a aussi décrété d'interdire les coups d'état et d'autres moyens non démocratiques d'obtenir le pouvoir, une allusion au coup d'état de 24 décembre 1999 qui a déchu M. Bédié et porté M. Gueï au pouvoir. Les autres propositions adoptées comprennent la création d'un organisme national pour traiter les conflits liés à la propriété foncière, ainsi que la formation d'un gouvernement d'unité nationale.
SENEGAL: La réponse à l'appel est favorable mais il en faudrait davantage
La réponse nationale et internationale à l'appel du Sénégal pour venir en aide aux victimes des catastrophes climatiques dans le nord il y a quatre semaines, a été favorable mais doit être maintenue pour reconstruire les zones et les existences affectées, a indiqué Boubacar Traoré, chef du comité national chargé des efforts de secours.
Depuis l'appel du 17 janvier, des dons ont été envoyés par plusieurs pays, notamment l'Algérie, la Chine, la France, l'Allemagne, l'Italie, la Libye et les Etats-Unis.
Vendredi, le Programme alimentaire mondial (PAM) a achevé un programme de distribution de 500 tonnes de riz à quelque 10 000 familles dans les départements de Saint-Louis et de Louga, les deux régions du nord du Sénégal qui furent les plus affectées.
Entre le 9 et le 11 janvier, des pluies diluviennes hors saison et une baisse de température inhabituelle, se sont abattues sur les deux départements, tuant 28 personnes. Près de 179 000 autres personnes ont été affectées lorsque les pluies torrentielles ont balayé les maisons, les commerces, le bétail et les cultures.
AFRIQUE DE L'OUEST: Les pays du Bassin du fleuve Niger planifient une utilisation judicieuse de l'eau
Les neuf pays membres de l'Autorité du Bassin du fleuve Niger (NBA) se sont rencontrés dans la capitale nigériane Abuja, les 16 et 17 février, afin d'examiner les moyens d'assurer que les eaux du fleuve Niger et de ses affluents soient utilisées d'une manière écologiquement rationnelle.
Le président nigérian, Olusegun Obasanjo, a proposé lors de la séance d'ouverture samedi que les Etats membres suspendent tous les projets capitaux qui affectent le fleuve Niger et ses affluents jusqu'à ce que des études soient effectuées dans le but de déterminer si de tels projets seraient dans l'intérêt de tous les pays concernés.
Quatre Etats membres (Bénin, Mali, Niger et Nigéria) étaient représentés par leurs présidents, tandis que le Burkina Faso, le Cameroun, le Tchad, la Côte d'Ivoire et la Guinée ont dépêché d'autres hauts responsables. Le président Alpha Konaré du Mali est le président en exercice de l'organisation, qui siège à Abuja.
AFRIQUE: Une conférence s'engage à aider les civils affectés par les conflits
Une conférence de trois jours, qui a attiré des parlementaires africains, des experts juridiques et d'autres, s'est achevée mercredi au Niger sur un engagement des participants à alléger le fardeau des civils par temps de guerre, a annoncé le Comité International de la Croix-Rouge (CICR).
Dans la déclaration finale, les participants ont reconnu l'impact négatif que les conflits armés et d'autres formes de violence a sur le continent. Ils ont cité la bonne gouvernance, la primauté du droit et le respect des droits de l'homme comme « la meilleure prévention » pour la protection des civils, en particulier celle des groupes vulnérables comme les femmes, les enfants et les personnes âgées. D'après le CICR, a encouragé les parlementaires à promouvoir le droit international, notamment en signant les traités internationaux et en encourageant à leur adoption dans le contexte de leur législation nationales respectives.
Réunis à Niamey, capitale du Niger, les participants incluaient l'Angola, le Congo, la Côte d'Ivoire, l'Erythrée, l'Ethiopie, la Guinée, le Maroc et le Rwanda. Le séminaire était organisé en collaboration avec l'Union interparlementaire africaine, le Canada, la Norvège et la Suisse.
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